Les maladies respiratoires chroniques telles que la BPCO, la bronchectasie ou l’asthme, et d’autres maladies neurologiques qui réduisent la capacité respiratoire comme la SLA, la sclérose en plaques, les dystrophies musculaires ou la maladie de Parkinson, entraînent une grande détérioration de la qualité de vie de ceux qui en souffrent et de leurs familles.
C’est là que la kinésithérapie respiratoire pour adultes entre en jeu, avec des avantages évidents pour le patient :
- Améliore le drainage des sécrétions.
- Aide à contrôler et à réduire la dyspnée ou l’essoufflement.
- Améliore la ventilation pulmonaire.
- Prévient et traite les infections respiratoires.
- Évite les complications et les admissions.
- Optimise la prise de médicaments (inhalateurs), ce qui la rend plus efficace.
- Améliore la tolérance à l’exercice.
Les techniques de kinésithérapie respiratoire pour adultes sont les plus avancées et les plus efficaces, elles sont basées sur la kinésithérapie respiratoire, n’ont pas d’effets secondaires.
Pour les séances de kinésithérapie respiratoire chez l’adulte, il faut que le cabinet dispose de différents dispositifs pour améliorer l’efficacité des techniques et du traitement.
Le praticien doit s’engager à offrir un service de kinésithérapie respiratoire pour adultes avec un dévouement absolu au patient et un traitement proche et personnalisé effectué par des spécialistes en kinésithérapie respiratoire, ayant la formation et l’expérience nécessaires pour offrir aux patients une assistance de la plus haute qualité.
Les séances de physiothérapie respiratoire peuvent être effectuées au cabinet du praticien ou au domicile du patient.
Indications de la kinésithérapie respiratoire pour les adultes :
- BPCO (emphysème pulmonaire ou bronchite chronique).
- Bronchiectasie.
- Pneumonie.
- Atelectasis.
- L’asthme.
- Séquelles d’une infection à coronavirus ou COVID-19.
- Pré et post chirurgie thoraco-abdominale.
- Transplantation pulmonaire.
- Fibrose kystique.
- Maladies neurologiques et neuromusculaires : accidents vasculaires cérébraux, lésions de la moelle épinière, traumatismes cranio-encéphaliques, sclérose en plaques, SLA, dystrophies musculaires…
- Processus oncologiques et dégénératifs.
- Toute maladie qui compromet la fonction respiratoire ou qui provoque une augmentation des sécrétions.